lundi 30 janvier 2012

Je lai eu

Je lai eu. Ma revelation.
Ca na pas ete comme dans les films americain ou le mec se reveille un beau matin et decide avec ardeur
¿Avec qui?
De faire tout un tas de truc. Ou il voit des chose incroyable et toute la verité est claire et nette.

Aparavant, je me complaisai pour ainsi dire, dans ma merde. Je revais. Je fauxrniquais. Je mettais perdu. Mais me croyant plus forte que la poudre. Jignorais tout conseille divin.
Mais quelque evenement mon fais chialé. Je decidais de minterdire toute vosfublité. Le travail devait obnubilé mes pensé. Tel les oeuillere dun brave cheval. La peine trop grande. Je ne voyais le bout du tunel et me.sentait assaili par des sable mouvant obscure. Pleurant et injurant le seigneur, la vie, ne sachant plus rien. Je limplorai de moffrir une revelation. Dans son infini bonté, je leu.

Tout debutat se weekend. Me croyant heureuse de vivre et pleine dallant, je marchais dun bon pas sur le dangeraux asphalte. Cest alors quun homme mapostropha, mintiment de faire attention a ne pas mettre ma santé en peril. Il semblait sant toi, et avoir des origine amerindienne. Il etait entouré de fleurs bariolé, portais un poncho a frange et un chapeau de cowboy, tout deux de couleurs rouge. Le rassurant brievement, je continuais davancé. Alors une pensé me vient a lesprit je le croyais serviteur du divin, etre a la bonté celestale, un ange.
Je crus alors comprendre que dieu maccordai ses faveur et quil me montrait son amour.
Quelque minute plus tard, son image toujours en tete je le vis passé. De dos, sa nature divine ne me semblais que certaine. Et le voyant partir tel un esprit libre et solitaire mon esprit le dota daile blanche.
Je marchai esperant le revoir. Pour sela je decidais de changer mon itineraire.
Ainsi, de loin je lappercu et je mordonnai de lui faire un grand sourire lorsquil me croiserai sur sa bicyclette.
Il me reconnu. Mapostropha de maniere familiere, et emgagea la conversation. Premierement je fus heureuse. Mais ses propos devenant insitant et comprennant que la conversation allait seternisé. Je partis.
Je le croyais toujours ange. Mais un derapement et quelque pas mamenere un sentiment qui metait alors inconnu. Je "badais", je me sentait mal et inquiete, suspicieuse, eventré, trompé,
se sentiment jusqua chez mon pere sinsinua en moi. Loubliant jusquau soir, il revint amenant avec lui le sentiment de ma mort iminente.

Sur le chemin inverse le sentiment etais moins present mais persistait. Jessaye de quemandé une cigarette a quelque ame charitable. Je leu apres quelque vehement refus.

Lallumant, je tournais vers une rue inconnue. Un passage peu frequenté. Je ne saurai dire se qui arriva. Je madossait a un mur. Et tel une fée, dune maniere des plus discrete et gracieuse, jeu une revelation.
Je me sentai comme perdue.  Puis je compris que cette etat etait du a lhabitude detre perdue que je develeppais depuis plusieurs année.
Mon esprit. Etait plus claire. Je ne me sentai pas.dhumeur combattante. Mais calme, certaine, tranquille. Je marchai dun pas lent et serein. Je ne sais se que jai appris. Mais je suis certaine davoir appris.

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