dimanche 22 janvier 2012

Pourquoi vous ne pourrez plus sortir vos chien la nuit

Jai pissé au lit il y a deca 3jour. Et en cette glorieuse nuit, jai chié comme jamais.
Surememt le coucous a mamie (arriver aujourdhui). Jamais je navais en entendu ni aurais pus croire le bruit si fort qui sortit de mes entraille. Une simphonie de petarde macompagnait bruyamment alors que je chiais de pomme de pain durant la cagade infernale, la "tomberoche". Clot par une bouze chiasseuse, cette instant bien que tres bref fut dune brutalité sans nom donnant lieu a un boucan de la meme accointance. Je chiais tripes et boyeaux en peu de temps mais avec beaucoup de decibel. Une sainte musique venu des cimes celestale du plus belle endroot sur terre (oui, les toillettes)
Quand a mon incontinense, je ne saurai que dire dautre que cela ma vigoureuseument surpris. Je fus en train  de rever a des ablution, mais sous de meilleurs ospices. Tout etait calme. Tout etait agreable. Tout etait reve .Quand soudain une sensation etrangement chaude et mouillé vient me.carressez le posterieur, et lanterieuse. Me ramenant a la realité, je me rendis compte que le reve etant devenus realité, mes draps etait mouillé. Sans bruit je me suis levé jai pris une serviette, lai delicatement posé sur le lieu du drame me suis recouché apres avoir retourné ma couverture. Je ne sauras imputer ses triste evenement a la fatigue ou a recente venue de helene. Mais plutot a la roue de la fortune, au hasard.

Je crue ma peine fini apres avoir ecrit ses pieuses ligne. Seulement mes intestins ne furent pas de cette pensé. Je me suis ainsi reveille defois par la suite a deux heures dintervalle (ma premiere escapade nocturne se fis a 3h, la seconde a 5 et mon antepenultieme peril se fit a 7. Mon calvaire se termina avec ma nuit: alors que je me reveillais pour aller au ospices, jai nommé les toillettes). Par les quatre fois que j'eu etronné, mais merde avec le temps sen allais de plus en plus molle, de plus en plus liquide, de plus odorante.
Jaimerai par ailleur ajouté quelque detail a mes audacieuse mesaventure:
Alors que, pour la premiere fois de la nuit et de ma vie j'eu chier avec autant de hardiesse. Mon esprit, choqué et endormis. Entendis derrierre la porte un baragouinement. Baragouinement qui au fur et a mesure devint de larabe. Mon esprit brouillé, reconnu alors (mais avec grande difficulté) la vois de ma grand mere algerienne(celle qui eu mijoté avec delicatesse le couscous qui me mit dans tel etat). Elle aussi etait soumise a la fureur de ses entraille. A la plainte aigu de ses boyeau. Le respect des ainé me forca a sortir presstement. Et cest en ouvrant la porte, que je vis ma tante, limposante farida les cheuveux.en batailles, le regard fievreux, la tete coincé dans son seant. Je repartis me couché.
Ma peregrination  a la cinquieme heure de la nuit se fis sans accout.
Mais, a ma troisieme sorti je vis les augustes toilettes, a mon grand desarrois... Occupé. Je fus donc obligé, tel un pauvre herre de marché jusqua autres toilette. Je du faire mon possible pour que le parquet ne grince pas. Enfin arrivé, la senteur emanant des dites toilettes me fis savoir, que mon tres chere et tres aimé pere etait tres certainement passé dans ces lieux celestes juste avant mon arrivé.
Mais mon etat mobliga a faire fi de toute sensation, tant le besoin de me defaire du fardeau retenu dans mes boyaux se fesait ardemment sentir.
Enfin. Voila.
La pauvre nuit que jai passé, mon malheureux sommeil entrecoupé de dejection rendu a letat liquide.

Je suis sereine quand a ma vie futur. Lorsque lon chie et que lon pisse de telle facon, seul un grand destin vous attends.

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